J’ai réalisé cette série de portraits illustrés pour accompagner un article de magazine consacré au film The Substance, signé Coralie Fargeat, avec Demi Moore et Margaret Qualley au casting. Personnellement, j’ai adoré ce film, autant pour sa radicalité visuelle que pour ce qu’il raconte. Dès les premières minutes, j’ai su que j’étais face à une petite pépite. Franchement… Quelle claque ! C’est donc avec un immense plaisir que j’ai réalisé ces illustrations.



This is exactly the kind of work I thrive on: turning cinematic atmospheres into illustrations. My aim was to capture the film’s emotional tension through facial expressions, composition, and color. As usual, I started with a rough sketch to map out ideas and framing. Then I moved on to a more detailed pencil drawing, scanned it, and used it as a base to paint in Procreate on my iPad with my Apple Pencil.
Ce genre de projet est exactement ce que j’aime : traduire une ambiance cinématographique en illustration, capter une émotion, une tension, à travers les visages, les couleurs, la composition. Comme souvent, j’ai commencé par un croquis rapide pour poser mes idées, réfléchir aux cadrages, aux attitudes. Ensuite, je développe un crayonné plus poussé, que je scanne pour passer à l’étape numérique. Procreate, iPad, Apple Pencil : c’est là que tout prend vie.



For this portrait series, I chose to work with a very limited color palette. It helped me focus the visual impact while echoing the film’s pop-techno, almost clinical art direction. What really struck me was the contrast: a constant push and pull between sensuality and violence, sleekness and discomfort. That was the mood I wanted to reflect — images that attract and disturb, all while staying visually sharp.
(And if you haven’t seen it yet… spoiler alert: The Substance is a total banger.)
Pour cette série, j’ai choisi de travailler avec une palette très réduite. Ça m’a permis de concentrer l’attention sur l’essentiel, tout en m’inspirant de l’univers visuel du film: un mélange très pop, techno, acide, presque clinique par moments. Ce qui m’a surtout marqué, c’est cette tension permanente entre sensualité et violence, légèreté et malaise. Mon intention, c’était de faire ressentir ça dans chaque portrait : que l’image intrigue, dérange un peu, tout en restant belle et stylisée.
(Et si vous ne l’avez pas encore vu… attention spoiler : The Substance, c’est un vrai banger.)
